Quelle finale. Ou plutôt, quelle intensité. Et quelle déception pour Chelsea. Enfin, quel parallèle avec la finale de la coupe du monde il y a deux ans, avec Chelsea dans le rôle de la France et Drogba dans celui de Zidane. Sauf que là, c'est pire, il y a deux poteaux, et ce tir au but pour la gagne, avec la glissade de Terry... le pire dans tout ça, c'est que cette tête à claque qu'est Cristiano Ronaldo a la route dégagée vers le ballon d'or.
Basket: c'est marrant la NBA. 82 (!) matches en 6 mois, dont une bonne partie compte presque pour du beurre pour les bonnes équipes, et des playoffs où tout se joue, mais au meilleur des 7 matches pour limiter les surprises (contrairement au foot américain par exemple). Et pourtant, quelle intensité là encore. Spurs-Lakers, Celtics-Pistons, c'est vraiment pas mal.
Non ce blog n'est pas devenu "l'Equipe" du pauvre, mais bon à part ça, juste le boulot, la défaite-oui-mais-pas-encore-je-me-battrai-jusqu'au bout d'Hillary, et Indy 4 à aller voir, pas grand chose à raconter.
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