J'ai eu l'occasion de prendre il y a quelque jours cette fameuse compagnie aérienne américaine qui s'est rendue célèbre au mois de janvier grâce au sang froid d'un de ses pilotes qui s'est posé dans une rivière New Yorkaise... compagnie, qui par ailleurs, propose parfois aux étudiants (via studentuniverse.com) des tarifs une fois et demi inférieurs à notre chère compagnie nationale sur un Paris-San Francisco. Certes, il y a une escale à Philadelphie, mais cet aéroport est au demeurant assez sympathique avec ses nombreuses boutiques et restaurants, et est très bien conçu pour des correspondances rapides (alors que, suivez mon regard, CDG, ses très rares portiques de sécurité, ses très absents fonctionnaires de police au contrôle des passeports, du moins lorsque plusieurs vols arrivent simultanément...).
Pour ne rien gâcher, les avions que j'ai empruntés (un A330 et un A321) étaient très récents, bien que le confort des sièges laisse un peu à désirer, mais je m'égare. En arrivant à Philadelphie depuis Paris, j'ai eu droit à une approche sportive à l'américaine (style: "Tiens on est à 15 km de l'aéroport à 5000m et 600 km/h, si on commençait à se placer dans l'axe de la piste tout en descendant de 3km, en sortant les volets et le train, le tout en 2 minutes?"). Rien d'extraordinaire. Mais à quelques centaines de mètres de la piste, le commandant, très détendu, nous annonce "Piste pas libre, on repart faire un tour", accompagné d'un rugissement des moteurs, d'une sacrée accélération et d'un cabrage de l'avion assez impressionnants.
Bon, tout ça, c'est de la routine, et ça ne vaudra pas, niveau sensations fortes, la triple interruption de décollage que j'avais eu à la Réunion avec Air Lib il y a quelques années, mais ça égaye un peu les 14 heures de vol.
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