lundi 1 décembre 2008

Retour à Stanford sous un grand ciel bleu d'hiver...

et 21° quand même. On en profite pour faire marcher les bullet-points:

  • Pour des raisons de décalage horaire et d'heures d'ouverture des aéroports, les vols transatlantiques partent des Etats-Unis au cours de l'après-midi et arrivent au petit matin en Europe. Puis, durant la matinée et en début d'après-midi, c'est la route inverse. Donc, vers 10h le matin, au sein du terminal 2E de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle, d'où partent presque tous les vols vers les Etats-Unis, c'est l'effervescence. Sauf pour les agents de sécurité qui ont décidé de n'ouvrir qu'un portique sur trois, parce qu'après tout, sinon, ça risquerait d'aller trop vite... ajoutez à cela un problème électrique sur l'A340 d'Air France et vous obtenez deux heures de retard au départ, en partie compensées à l'arrivée par les vents favorables (rare dans le sens est-ouest) et une route inhabituelle au sud de l'Islande et du Groenland.
  • En discutant avec le personnel d'Air France, on peut apprendre quelques anecdotes intéressantes sur leur métier. Comme le fait qu'ils disposent de couchettes à faire pâlir les First sur les très longs vols. Ou encore qu'ils détestent voler sur l'A340 mal chauffé et mal pressurisé (si bien qu'à ses débuts, il n'était pas rare que la moitié de l'équipage perde connaissance à un moment sur un long-courrier... rassurant). Et enfin, que la "sardinisation" des classes écos, c'est que le début et "on y peut rien, tant pis pour vous". Sympa.
  • Rien à voir, mais il paraît qu'en moyenne sur l'année, il fait un peu plus chaud à Londres qu'à Paris. Comme quoi...

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